Toujours en voyage! De chemins de montagne en criques tranlucides je pose ma parole contée chez ceux qui veulent bien m'accompagner au cours de mes pérégrinations. Des balades contées (seul ou en compagnie de Baptiste Rochedy-Maltese, accompagnateur en moyenne montagne aux conteries en veillées chez vous ou en salles c'est comme vous voulez! Vous êtes les bienvenus!!
jeudi 21 février 2013
Me voilà de retour...
Trois mois d'absence, trois mois dont deux au Vénézuela.
Autant vous le dire de suite ce fut un voyage riche de rencontres et de paysages.
Nous étions partis chargés d'opinions diverses (danger, dictature etc) et nous revenons légers et souriants. En deux mots nous ne nous sommes jamais sentis ni en danger ni menacés.
Nous avons rencontré un peuple paisible, avenant et prévenant vis à vis de l'étranger.
Il est évident que nous n'avons pas cherché à fréquenter les lieux à risque (pas plus que nous ne le ferions en France ou ailleurs en Europe occidentale!).
Essentiellement, nous avons parcouru les campagnes, de plaine et de montagne, fréquenté les auberges que les vénézueliens "de base" utilisent pour le tourisme dans leur pays.
Je ne parle pas du tourisme "de luxe". celui là aussi nous l'avons ignoré. Nous sommes des gens simples et sommes allés à la rencontre d'autres gens simples. Ils nous ont accueilli. Leur curiosité tranquille, leur contentement d'être vénézueliens, peuple jeune, nous a ravi et détendu.
Nous avons, à de rares exceptions près, rencontré des gens heureux de vivre comme ils le peuvent, pas riches de biens, mais riches de musique, d'inventivité, de regard positif sur la vie.
Le retour dans un monde occidental ou le regard sur l'autre est celui du prédateur, toujours dans la peur (de l'autre , de l'avenir etc etc) a été un peu raide.
Il nous reste à souhaiter de ne pas retomber dans ces tristes comportements là et à espérer que chacun à son tour se départisse de ses lourdeurs en, pourquoi pas, allant se confronter aux autres, ailleurs...
Nous préparons un carnet de voyage pour la fin du mois de mars, avec photos, textes et aussi renseignements pratiques corrigeant les omissions, erreurs et autres stupidités que nous avons pu dénicher dans certains guides de voyage...
en attendant, bonne année à toute et tous, et à bientôt!
Trois mois d'absence, trois mois dont deux au Vénézuela.
Autant vous le dire de suite ce fut un voyage riche de rencontres et de paysages.
Nous étions partis chargés d'opinions diverses (danger, dictature etc) et nous revenons légers et souriants. En deux mots nous ne nous sommes jamais sentis ni en danger ni menacés.
Nous avons rencontré un peuple paisible, avenant et prévenant vis à vis de l'étranger.
Il est évident que nous n'avons pas cherché à fréquenter les lieux à risque (pas plus que nous ne le ferions en France ou ailleurs en Europe occidentale!).
Essentiellement, nous avons parcouru les campagnes, de plaine et de montagne, fréquenté les auberges que les vénézueliens "de base" utilisent pour le tourisme dans leur pays.
Je ne parle pas du tourisme "de luxe". celui là aussi nous l'avons ignoré. Nous sommes des gens simples et sommes allés à la rencontre d'autres gens simples. Ils nous ont accueilli. Leur curiosité tranquille, leur contentement d'être vénézueliens, peuple jeune, nous a ravi et détendu.
Nous avons, à de rares exceptions près, rencontré des gens heureux de vivre comme ils le peuvent, pas riches de biens, mais riches de musique, d'inventivité, de regard positif sur la vie.
Le retour dans un monde occidental ou le regard sur l'autre est celui du prédateur, toujours dans la peur (de l'autre , de l'avenir etc etc) a été un peu raide.
Il nous reste à souhaiter de ne pas retomber dans ces tristes comportements là et à espérer que chacun à son tour se départisse de ses lourdeurs en, pourquoi pas, allant se confronter aux autres, ailleurs...
Nous préparons un carnet de voyage pour la fin du mois de mars, avec photos, textes et aussi renseignements pratiques corrigeant les omissions, erreurs et autres stupidités que nous avons pu dénicher dans certains guides de voyage...
en attendant, bonne année à toute et tous, et à bientôt!
lundi 12 novembre 2012
Vénézuela, vous connaissez?
je suppose que le nom de Chavez ne vous est pas inconnu?
Oh bien sûr vous avez l'image d'un quasi dictateur populiste car, à de rares exceptions près, l'information que nous avons est franchement orientée sans vraiment nous donner les moyens de comprendre vraiment...
Dans quelques jours, en compagnie de mon amie Karine Boudart, photographe professionnelle
PHOTO-LISE Tel. : 03 20 74 28 64 - Mob. : 06 80 94 14 33 - Email :
http://www.reportage-photo.com je m'envolerai pour ce pays peu et mal connu!
Si vous êtes un tant soit peu curieux allez donc sur le blog suivant de Cécile et Daniel, journaliste et photographe, qui connaissent bien ce pays.
http://bateaubasta.over-blog.org
Alors des nouvelles ...en février!
bel automne et bon début d'année à toutes et tous!
adissiàs!
Patric
je suppose que le nom de Chavez ne vous est pas inconnu?
Oh bien sûr vous avez l'image d'un quasi dictateur populiste car, à de rares exceptions près, l'information que nous avons est franchement orientée sans vraiment nous donner les moyens de comprendre vraiment...
Dans quelques jours, en compagnie de mon amie Karine Boudart, photographe professionnelle
PHOTO-LISE Tel. : 03 20 74 28 64 - Mob. : 06 80 94 14 33 - Email :

Si vous êtes un tant soit peu curieux allez donc sur le blog suivant de Cécile et Daniel, journaliste et photographe, qui connaissent bien ce pays.
http://bateaubasta.over-blog.org
Alors des nouvelles ...en février!
bel automne et bon début d'année à toutes et tous!
adissiàs!
Patric
lundi 26 mars 2012
Contre la haine, nos fraternités
19 mars 2012 | Par Edwy Plenel - Mediapart.fr
Une
haine meurtrière défie désormais la France, sa République et sa
campagne présidentielle. Précédée des meurtres de militaires à Toulouse
et Montauban auxquels elle serait reliée,
la tuerie antisémite de Toulouse est peut-être l’œuvre d’un fou. Mais,
dans ce cas, sa folie est d’époque. D’une époque où l’on s’habitue à
diviser l’humanité plutôt qu’à la rassembler, où l’on attise les
violences plutôt que d’apaiser la société. Et c’est cette folie qu’il
importe de conjurer d’urgence, en convoquant la raison contre la peur et
la fraternité contre la haine.
« Un dieu rôde derrière le fait divers », a un jour écrit Roland Barthes, pour souligner sa force énigmatique, ravageuse et irrationnelle, qui nous désarçonne tant nous nous sentons impuissants à le déchiffrer. Mais ce dieu du fait divers est aussi bien un diable, capable de faire basculer nos destins en nous plongeant dans l’aveuglement et l’effroi, rompant les amarres de la raison pour les flots d’une déraison apeurée. Depuis les terrifiants assassinats ayant visé les enfants et les enseignants d’un établissement scolaire juif toulousain, ce diable s’est invité dans la campagne présidentielle sous l’apparence d’un tueur de sang-froid, casqué et motorisé.
Il faut espérer qu’enquêtes policières et instructions judiciaires réussissent à éclairer au plus vite l’énigme de ces meurtres dont ont été victimes trois enfants et un adulte parce qu’ils étaient juifs, ainsi que quatre militaires qui, outre leur uniforme, avaient en commun de témoigner de la diversité de notre peuple, par leurs origines maghrébine ou antillaise. Sommes-nous bien en présence des actes d’un individu isolé, comme le laissent supposer les premières constatations ? A-t-il agi par antisémitisme d’un côté et, de l’autre, par détestation d’une armée française engagée en Afghanistan face à un peuple musulman ? Ou bien agit-il par racisme dans les deux cas, contre l’école juive et contre les militaires, comme le suggère l’évocation par Le Point d’une piste néo-nazie ?
A ce stade, nous n’en savons rien. Mais, quelle que soit l’hypothèse retenue, nous pressentons qu’une haine inextinguible est au ressort de ces meurtres. Ce tueur est peut-être un fou solitaire, sans autre motivation que la folie criminelle qui l’habite. Malgré l’horreur de ses actes, peut-être n’est-il qu’un spécimen isolé d’une humanité perdue au point de nier l’humanité elle-même, un assassin dont les crimes n’ont d’autre signification que sa folie. Mais peut-être est-il aussi un fou d’idéologie, un fou saisi par ces passions meurtrières qui, ces dernières années, n’ont cessé de travailler notre modernité, diffusées et alimentées par les tenants des guerres d’identités, chocs de civilisations et affrontements de religions.
Passion républicaine contre politique de la peur
Dans leurs dérèglements de l’ordinaire quotidien, les faits divers révèlent les malaises profonds des sociétés. Ce qu’elles mijotent à petit feu, ce qu’elles macèrent en silence, ce qu’elles laissent suppurer. Qu’il se croie djihadiste, ou néo-nazi, ou rien du tout, fou de sa folie personnelle ou fou d’idéologies meurtrières, l’assassin de Toulouse et Montauban nous renvoie en miroir les déraisons auxquelles nous nous sommes habitués, dans la banalité d’une vie publique dégradée où violences et divisions, transgressions et discriminations ont trop souvent droit de cité.
Ces crimes nous sont insupportables et, en même temps, nous devons admettre qu’ils ne nous sont pas étrangers. Car ils sont ceux d’une époque et d’un pays, les nôtres, où l’on s’est par trop habitué à ces discours, ces paroles et, parfois, ces actes qui mettent en exergue tout ce qui différencie les êtres humains, les divise et les éloigne les uns des autres, plutôt que ce qui les rapproche, leurs ressemblances partagées ainsi que leurs communes conditions. Où l’on s’est accoutumé, sans réagir outre mesure, à entendre souligner ce qui distingue plutôt que ce qui rassemble.
Il est temps de nous ressaisir et, sous le choc de l’émotion, de retrouver le chemin d’une concorde républicaine en lieu et place de cette guerre de tous contre tous qui fermente sous l’aigreur de la déraison politique à l’œuvre ces temps derniers – identité nationale contre origine étrangère, civilisations supérieures contre religions inférieures, racines chrétiennes contre invasion musulmane, etc. Oui, temps de nous rappeler, en lui donnant une nouvelle jeunesse, ardente et communicative, que la République, dans son idéal d’égalité démocratique et sociale, est supposée ne faire aucune distinction selon l’origine, l’apparence ou la religion.
Sinon le pire est à craindre. Dans une démocratie fragile, doutant d’elle-même, travaillée par l’incertitude et bousculée en son sommet, des actes insensés comme ceux de Toulouse et Montauban sont de potentiels accélérateurs de régressions. Par-delà les motivations de leurs auteurs, ils font toujours la politique de la peur. De ceux qui parient sur la peur et la haine, agitent l’une contre l’autre et prétendent rassurer en inquiétant. « Ayez peur, et nous nous occupons du reste ! » disent-ils en fondant tous leurs espoirs sur cette démobilisation démocratique.
A nous tous de leur répondre, par la raison mobilisatrice de nos passions républicaines. De celles qui rassemblent, confortent et unissent cette humanité universelle d’hommes et de femmes libres et égaux en droit, tout simplement parce qu’ils sont nés tels.
« Un dieu rôde derrière le fait divers », a un jour écrit Roland Barthes, pour souligner sa force énigmatique, ravageuse et irrationnelle, qui nous désarçonne tant nous nous sentons impuissants à le déchiffrer. Mais ce dieu du fait divers est aussi bien un diable, capable de faire basculer nos destins en nous plongeant dans l’aveuglement et l’effroi, rompant les amarres de la raison pour les flots d’une déraison apeurée. Depuis les terrifiants assassinats ayant visé les enfants et les enseignants d’un établissement scolaire juif toulousain, ce diable s’est invité dans la campagne présidentielle sous l’apparence d’un tueur de sang-froid, casqué et motorisé.
Il faut espérer qu’enquêtes policières et instructions judiciaires réussissent à éclairer au plus vite l’énigme de ces meurtres dont ont été victimes trois enfants et un adulte parce qu’ils étaient juifs, ainsi que quatre militaires qui, outre leur uniforme, avaient en commun de témoigner de la diversité de notre peuple, par leurs origines maghrébine ou antillaise. Sommes-nous bien en présence des actes d’un individu isolé, comme le laissent supposer les premières constatations ? A-t-il agi par antisémitisme d’un côté et, de l’autre, par détestation d’une armée française engagée en Afghanistan face à un peuple musulman ? Ou bien agit-il par racisme dans les deux cas, contre l’école juive et contre les militaires, comme le suggère l’évocation par Le Point d’une piste néo-nazie ?
A ce stade, nous n’en savons rien. Mais, quelle que soit l’hypothèse retenue, nous pressentons qu’une haine inextinguible est au ressort de ces meurtres. Ce tueur est peut-être un fou solitaire, sans autre motivation que la folie criminelle qui l’habite. Malgré l’horreur de ses actes, peut-être n’est-il qu’un spécimen isolé d’une humanité perdue au point de nier l’humanité elle-même, un assassin dont les crimes n’ont d’autre signification que sa folie. Mais peut-être est-il aussi un fou d’idéologie, un fou saisi par ces passions meurtrières qui, ces dernières années, n’ont cessé de travailler notre modernité, diffusées et alimentées par les tenants des guerres d’identités, chocs de civilisations et affrontements de religions.
Passion républicaine contre politique de la peur
Dans leurs dérèglements de l’ordinaire quotidien, les faits divers révèlent les malaises profonds des sociétés. Ce qu’elles mijotent à petit feu, ce qu’elles macèrent en silence, ce qu’elles laissent suppurer. Qu’il se croie djihadiste, ou néo-nazi, ou rien du tout, fou de sa folie personnelle ou fou d’idéologies meurtrières, l’assassin de Toulouse et Montauban nous renvoie en miroir les déraisons auxquelles nous nous sommes habitués, dans la banalité d’une vie publique dégradée où violences et divisions, transgressions et discriminations ont trop souvent droit de cité.
Ces crimes nous sont insupportables et, en même temps, nous devons admettre qu’ils ne nous sont pas étrangers. Car ils sont ceux d’une époque et d’un pays, les nôtres, où l’on s’est par trop habitué à ces discours, ces paroles et, parfois, ces actes qui mettent en exergue tout ce qui différencie les êtres humains, les divise et les éloigne les uns des autres, plutôt que ce qui les rapproche, leurs ressemblances partagées ainsi que leurs communes conditions. Où l’on s’est accoutumé, sans réagir outre mesure, à entendre souligner ce qui distingue plutôt que ce qui rassemble.
Il est temps de nous ressaisir et, sous le choc de l’émotion, de retrouver le chemin d’une concorde républicaine en lieu et place de cette guerre de tous contre tous qui fermente sous l’aigreur de la déraison politique à l’œuvre ces temps derniers – identité nationale contre origine étrangère, civilisations supérieures contre religions inférieures, racines chrétiennes contre invasion musulmane, etc. Oui, temps de nous rappeler, en lui donnant une nouvelle jeunesse, ardente et communicative, que la République, dans son idéal d’égalité démocratique et sociale, est supposée ne faire aucune distinction selon l’origine, l’apparence ou la religion.
Sinon le pire est à craindre. Dans une démocratie fragile, doutant d’elle-même, travaillée par l’incertitude et bousculée en son sommet, des actes insensés comme ceux de Toulouse et Montauban sont de potentiels accélérateurs de régressions. Par-delà les motivations de leurs auteurs, ils font toujours la politique de la peur. De ceux qui parient sur la peur et la haine, agitent l’une contre l’autre et prétendent rassurer en inquiétant. « Ayez peur, et nous nous occupons du reste ! » disent-ils en fondant tous leurs espoirs sur cette démobilisation démocratique.
A nous tous de leur répondre, par la raison mobilisatrice de nos passions républicaines. De celles qui rassemblent, confortent et unissent cette humanité universelle d’hommes et de femmes libres et égaux en droit, tout simplement parce qu’ils sont nés tels.
lundi 5 mars 2012
La Coordination «Per la lenga
occitana», organisatrice de la manifestation Anem Oc ! du 31 mars 2012 à
Toulouse, tient à rappeler par ce communiqué les valeurs essentielles de
tolérance et d'ouverture au monde auxquelles la culture occitane est et a
toujours été attachée.
Il est par conséquent clair et
évident que le mouvement associatif et culturel occitan dans son ensemble ne
saurait tolérer lors de cette manifestation la présence de personnes ou de
groupes revendiquant et affichant une vision xénophobe de
l'Occitanie.
Pr'amor de levar tota mèna
d'ambiguïtat, la defensa de la lenga e de la cultura occitanas se pòdon pas cap
assimilar amb los ensags de recuperacion d'aquelas tematicas per de grops que
presican una ideologia racista e fascista e que, per l'utilisacion dels simbòls
occitans, vòlon drapar d'un vestit nòu e mai de mòda çò qu'es totjorn lor
metèissa batèsta : l'òdi e l'aborriment per çò desparier, la tampadura,
l'immigrat coma patiràs, la superioritat imaginaria d'una Euròpa blanca que
seriá en perilh...
L'Occitania, doberta, colorada, e
mantuna, demòra fièra dels mots que li fan devesa e
identitat dempuèi mai de 800 ans : «
Paratge e Convivencia » !
Afin de lever toute ambiguïté, la
défense de la langue et de la culture occitanes ne peut en aucun cas être
assimilée aux tentatives de récupération de ces thématiques par des groupes
prônant une idéologie raciste et fasciste et qui, en utilisant les symboles
associés à l'Occitanie, espèrent ainsi offrir une vitrine plus attirante à leur
vieille lubie : le repli sur soi, la haine de l'autre, le bouc émissaire
immigré, la supériorité prétendue d'une Europe blanche qui serait en
danger...
L’Occitanie, ouverte, colorée,
multiple, reste fière des valeurs qui font sa devise et son identité depuis plus
de 800 ans : « Paratge e convivéncia* » !
(*égalité/fraternité et vivre
ensemble).
mardi 21 février 2012
Devenez un colibri !

- un constat clair des impasses du modèle actuel,
- des pistes de solutions dans tous les domaines,
- de vous relier à des personnes qui portent les mêmes valeurs,
- des modes d’emploi, des projets, pour agir, là où vous habitez.
- des modes d’emploi, des projets, pour agir, là où vous habitez.
Soutenez et participez au Mouvement Colibri, impulsé par Pierre Rabhi.
Prenez votre vie en mains!
Un blog passionnant à visiter:
celui de Pierre RABHI
à l'heure où les candidats à la soupe présidentielle
se bousculent pour le pouvoir
Voilà un homme qui depuis des années mène une pratique et une réflexion dans l'esprit de donner les moyens à chacun de trouver sa place heureuse dans le monde.
Le respect des unes et des autres passe aussi par
le respect du monde que nous habitons: la terre, l'univers.
http://www.pierrerabhi.org/blog/
celui de Pierre RABHI
à l'heure où les candidats à la soupe présidentielle
se bousculent pour le pouvoir
Voilà un homme qui depuis des années mène une pratique et une réflexion dans l'esprit de donner les moyens à chacun de trouver sa place heureuse dans le monde.
Le respect des unes et des autres passe aussi par
le respect du monde que nous habitons: la terre, l'univers.
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